• Synthèse de documents rédigée par un élève de BTS sur l'éthique scientifique. Devoir noté 18/20

     

    Synthèse de documents rédigée par Clément Papinutti en BTS électrotechnique 1

     

    Exemple de très bon devoir entièrement rédigé.

     

    Devoir noté 18/20

     

     

     

    Culture Générale et Expression

     

    Synthèse de documents sur l'éthique scientifique

     

     

     

       De nos jours, les progrès scientifiques sont contrôlés par une réflexion et des lois sur la bioéthique. Cette notion implique une réflexion sur le vivant. Elle permet de s’interroger sur ce qui est positif ou négatif dans le progrès de la science. L’étude de ce corpus s’inscrit dans ce grand débat qu’est le questionnement éthique. Parmi ces textes, on retrouve tout d’abord deux documents du XX° siècle. Le premier est un roman de science fiction, Le Meilleur Des Mondes, écrit par Aldous Huxley puis un film réalisé par Andrew Niccol, Bienvenue à Gattaca. Viennent ensuite deux articles du XXI° siècle. Le premier est un article de journal paru dans Le Monde et le second une interview du professeur Bernard Debré qui est également un député de l’Assemblée Nationale. L’ensemble de ce corpus apporte différents arguments au débat sur l’importance de la bioéthique dans le progrès de la science. Que ce soit un avis positif ou négatif, l’ensemble de ces documents nous permet de comprendre toute la complexité de ce débat. Quelle place doit-on donner à l’expérimentation scientifique dans notre société ? Doit-elle demeurer libre d’exécution ou doit-on instaurer un frein à la recherche notamment par un questionnement éthique ?

      Nous verrons tout d’abord que la recherche est source de liberté puis nous nous interrogerons sur les dérives du progrès scientifique pour l’homme et la société.

     

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       La recherche scientifique a permis à l’homme d’élever sa condition de vie et continue de favoriser l’évolution de la société dans laquelle nous vivons. Dans la limite de certaines règles bioéthiques, la science est plutôt libre. Elle pourrait dans un futur proche permettre de sauver encore plus de vies. C’est ce dont nous parle le professeur Debré dans son interview. En effet, ce dernier défend le clonage thérapeutique qui pourrait permettre une autoréparation des corps malades. Si l’on pouvait recréer les cellules cancéreuses d’un malade par exemple, cela permettrait de réaliser des soins adaptés plus rapidement et ce, sans risque de rejet de la part du patient. De plus, M.Debré est pour la recherche sur les embryons à des fins médicales qui permettrait de pouvoir implanter des embryons non porteurs de maladies génétiques. Ceci serait une grande avancée dans la lutte contre les maladies génétiques. On peut notamment remarquer dans l’article d’Anne Chemin dans Le Monde qu’en 2011 de nombreuses questions se sont posées dans les enceintes de la République comme par exemple : la procréation médicalement assistée. Poussés par le changement de législation de certains autres pays comme le Canada ou les Pays-Bas, les élus sénateurs et députés français ont voté une loi en faveur de cette assistance médicale permettant ainsi aux couples souffrant d’infertilité d’avoir un enfant.

     

    On peut donc se rendre compte que la recherche scientifique permet de trouver une certaine liberté pour les hommes. Dans l’article du Monde, on découvre que le Sénat a également demandé une levée de l’anonymat lors d’un don de gamètes ce qui permettrait aux enfants nés par fécondation in-vitro de connaître l’identité de leur père biologique. Dans ce corpus, on s’aperçoit qu’au XXI° siècle, la recherche scientifique est une source importante de liberté. En effet, la science donnerait la liberté aux hommes de pouvoir choisir leur avenir ainsi que celui de leurs enfants. Bernard Debré nous parle de cette sélectivité, cet eugénisme de liberté, à cette sélection génétique choisie qui permettrait d’améliorer la vie des hommes avant même qu’ils ne soient venus au monde. Dans le roman d’Huxley, on retrouve cette notion d’eugénisme mais de façon négative. Il y est dit que l’eugénisme permet une certaine stabilité sociale et garantit un avenir sûr en créant des hommes qui pourraient servir à l’utilisation de machine dans un régime qui ressemble de près aux politiques totalitaires. De même, le film Bienvenue à Gattaca nous met en garde contre les dangers de ces libertés données à la science. En effet, ce film nous présente la science comme un moyen de se plonger dans un monde parallèle. Elle explore le monde du clonage et met en évidence les risques, notamment celui de la déshumanisation. La liberté est remise en question dans ce film car il y a des dangers bien trop importants qui y sont abordés.

     

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       Nous avons pu constater tout d’abord l’intérêt de la recherche scientifique pour l’homme. Malheureusement, le progrès comporte aussi des risques. On peut en effet s’interroger sur les dangers de ce genre de recherche. Dans le roman d’anticipation d’Aldous Huxley et l’interview du professeur Debré, le risque de la création de régimes totalitaires est évoqué. Effectivement, Huxley pense que la science peut devenir l’instrument de régimes totalitaires cruels qui souhaiteraient créer une race parfaite grâce au clonage notamment et donc la création d’hommes totalement manipulables et dociles. Or le conformisme mène à la déshumanisation. Bernard Debré rejoint cette idée en différenciant l’eugénisme de liberté, qu’il prône, et l’eugénisme d’état qui serait catastrophique pour notre société. Il prend comme exemple le régime nazi et son souhait d’une race parfaite, la race aryenne. Cette idéologie a failli mener la société à se détruire. Debré utilise un autre exemple pour prouver que la science peut être l’instrument de régimes autoritaires. En effet, dans les années 1970, la Sociale Démocratie Suédoise stérilisait les femmes auxquelles on avait pu diagnostiquer des troubles mentaux pour ainsi éviter la propagation de ces maladies.

     

       Ce corpus de documents met en avant un danger important du progrès scientifique. Plusieurs de ces textes traitent du clonage et mettent en évidence toute l’importance de contrôler cet immense progrès qui n’est pas encore parfaitement maîtrisé. Le film Bienvenue à Gattaca montre, sur son affiche, un homme et une femme physiquement parfaits. Ils semblent pourtant bizarres notamment dans l’absence d’expression sur leurs visages. Cela leur donne un air d’hommes robotisés, ce qui est le défaut du clonage dénoncé ici. Les hommes rêvent d’un monde parfait, ce qui peut se révéler très dangereux. Huxley dénonce cette volonté de tout contrôler. En effet, il nous parle du clonage et l’on s’aperçoit qu’il y a une véritable négation de la différence qu’on peut considérer comme dangereuse. Il n’y a ainsi plus de mystère sur l’avenir et l’on cherche à contrôler notre vie. Cet argument est également évoqué dans le film de Niccol dans lequel le seul critère de sélection est la perfection génétique. Les hommes y idéalisent un monde parfait, sans tares, dans lequel on a éliminé l’ensemble des défauts grâce au choix du génotype de la race créée. Les gens sont choisis pour leurs gênes. Ce sont leurs gênes qui définissent leur rôle dans la société.

     

    ***

     

     

     

    Pour conclure, on peut dire que l’expérimentation scientifique est nécessaire au progrès de l’homme et se révèle bénéfique dans de nombreux cas comme dans la lutte contre les maladies génétiques graves. Il reste évidemment de nombreux mystères dans ce domaine mais les expériences scientifiques permettront de les élucider et de mener à bien ce combat. Cependant, la science doit être encadrée par une réflexion sur la morale. Des questionnements sur la bioéthique sont nécessaires pour éviter certaines dérives du progrès qui pourraient mener à une montée en puissance de régimes totalitaires ou encore causer une déshumanisation de notre société. Les freins imposés par une réflexion éthique permettent d’éviter une expansion trop importante du clonage et ainsi empêcher la robotisation de notre monde.

     

     

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    Voici les documents utilisés pour la synthèse:

     

     

     

    Corpus de documents sur l’éthique scientifique

     

    Doit-on fixer des limites à la recherche scientifique ?

     

     

     

    Texte 1

     

    En 1932, Aldous Huxley publie « Le Meilleur des mondes », dans lequel il imagine ce que pourrait être une société fondée sur la sélection génétique. La portée critique de ce livre de science-fiction est virulente : il dénonce les dérives d’un progrès qui ne suffit pas à rendre les hommes heureux.

     

     

     

    A ce moment, l'œuf primitif avait de fortes chances de se transformer en un nombre quelconque d'embryons compris entre huit et quatre-vingt-seize, « ce qui est, vous en conviendrez, un perfectionnement prodigieux par rapport à la nature. Des jumeaux identiques, mais non pas en maigres groupes de deux ou trois, comme aux jours anciens de reproduction vivipare, alors qu'un œuf se divisait parfois accidentellement ; mais bien par douzaines, par vingtaines, d'un coup.
    - Par vingtaines, répéta le Directeur, et il écarta les bras, comme s'il faisait des libéralités à une foule. Par vingtaines. Mais l'un des étudiants fut assez sot pour demander en quoi résidait l'avantage.
    - Mon bon ami ! le Directeur se tourna vivement vers lui, vous ne voyez donc pas? Vous ne voyez pas ? Il leva la main ; il prit une expression solennelle
    Le Procédé Bokanovsky est l'un des instruments majeurs de la stabilité sociale !
    Instruments majeurs de la stabilité sociale. Des hommes et des femmes conformes au type normal ; en groupes uniformes. Tout le personnel d'une petite usine constitué par les produits d'un seul œuf bokanovskifié.
    - Quatre-vingt-seize jumeaux identiques faisant marcher quatre-vingt-seize machines identiques !
    - Sa voix était presque vibrante d'enthousiasme.
    - On sait vraiment où l'on va. Pour la première fois dans l'histoire.

     

     

     

    Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes, trad.J.Les Castier, 1932.

     

     

     

    Texte 2 :

     

    Dans Valeurs Actuelles du 6 septembre 2006, le Professeur Bernard Debré, chef de service d’urologie à l’hôpital Cochin à Paris, également député, prend position ici sur les récentes avancées qu’ont permis les progrès en génétique.

     

    Valeurs Actuelles : Qu’entendez-vous par “eugénisme de liberté” ?.

    Bernard Debré : Dans l’imaginaire collectif, “eugénisme” est un mot épouvantable qui évoque les atrocités commises par les nazis ou bien celles réalisées par la social-démocratie suédoise qui, dans les années 1970, a stérilisé des femmes qui présentaient des troubles mentaux, avaient trop d’enfants ou étaient considérées comme asociales. Aux antipodes de ces eugénismes d’État, il existe un eugénisme de liberté, que je défends. À ce titre, le diagnostic préimplantatoire, qui permet de sélectionner les embryons non porteurs d’une maladie génétique. La liste des maladies pour lesquelles on pourra y recourir ne va cesser de s’allonger, car on sait maintenant lire dans le livre de la vie. Récemment, à l’hôpital, un jeune couple a demandé un tri d’embryons parce que chacun avait un parent atteint d’un Alzheimer précoce. Ils souhaitaient que leur enfant à venir soit préservé de cette maladie. Quoi de plus légitime ? Au nom de quoi leur interdire cette possibilité ?

    Vous défendez également le clonage thérapeutique, pourtant toujours interdit en France….

    Le clonage thérapeutique est l’une des plus grandes inventions du XXe siècle ! Cette technique permettra un jour à chacun de réparer ses organes défaillants. Quel principe supérieur nous permettrait d’interdire l’autoréparation, qui pourrait sauver un nombre considérable de malades ? Il y a quelques décennies, il se trouvait des censeurs pour s’y opposer. D’ailleurs, on effectue déjà des réparations qui sauvent des vies. Cela s’appelle la greffe d’organes. L’avantage énorme, avec le clonage thérapeutique, c’est que l’on ne sera plus confronté au risque de rejet. Non à la frilosité !

    Justement, vous pointez du doigt la frilosité de la France, sur la question de la recherche sur les embryons…

    Les barrières législatives érigées contre la recherche en France lui ont déjà fait perdre au moins six précieuses années. La loi bioéthique autorise l’étude sur les embryons congelés surnuméraires, mais seulement à titre exploratoire, pour une durée de cinq ans et dans un contexte expérimental encadré. C’est totalement insuffisant ! Nos chercheurs sont obligés de s’exiler. Et la Chine est en passe de devenir la référence mondiale en matière de clonage. L’embryon, qui n’est rien d’autre qu’un tas de cellules, ne doit pas être déifié. Pourquoi ne pourrait-on pas utiliser des embryons destinés à être détruits ? Ce sont pourtant des milliers de vies humaines qui pourraient être sauvées dans un délai très bref.

    Valeurs Actuelles, 8 septembre 2006. « Non à la frilosité », propos recueillis par Alix Leduc.

     

    Texte 3 :

     

    En 2011, les lois éthiques font l’objet en France d’une relecture pouvant conduire, pour certaines d’entre elles, à une révision. A l’issue des décisions législatives, la journaliste du Monde, rend compte du peu de changements survenus.

     

    Aucune avancée sur la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes, pas la moindre ouverture vers la légalisation de la gestation pour autrui, un refus résolu de l’homo-parentalité, beaucoup de frilosité en matière de recherche sur l’embryon : toutes les questions qui avaient agité pendant des mois les états généraux de bioéthique ont finalement abouti… au statu quo.

     

    Depuis leur première version, en 1994, les lois de bioéthique tentent d’encadrer les progrès de la médecine en élaborant peu à peu une « morale du vivant ». Quels sont les critères acceptables en matière de sélection des embryons dans l’assistance médicale à la procréation? Faut-il autoriser la recherche sur les cellules souches embryonnaires? Comment réglementer l’utilisation des tests génétiques? Voilà autant de questions auxquelles les lois de bioéthique tentent de répondre en encadrant les pratiques qui apparaissent au fur et à mesure des avancées médicales et scientifiques.

     

    Les premières lois ont inscrit dans le code civil de grands principes:

     

    Respect de la dignité de la personne humaine, inviolabilité du corps humain – toute atteinte

     

    suppose ainsi le consentement de la personne –, non-patrimonialité des éléments et produits du corps (sang, sperme, ovocytes, organes…).

     

    Ces textes, qui ont également organisé l’assistance médicale à la procréation, réglementé les greffes d’organes et encadré les empreintes génétiques, avaient vocation à être remis régulièrement sur le métier : en 2004, une nouvelle version des lois de bioéthique a donc été adoptée.

     

    En 2011, pour la seconde révision, les grandes questions ne manquaient pas: fallait-il autoriser la gestation pour autrui (les «mères porteuses »),comme l’ont fait la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, le Canada ou certains Etats américains ? Ouvrir la procréation

     

    médicalement assistée aux couples de femmes ou aux célibataires, comme le font beaucoup

     

    de pays du nord de l’Europe mais aussi la Belgique et l’Espagne ? Autoriser la recherche sur les cellules souches embryonnaires, qui ne sont aujourd’hui possibles qu’à titre dérogatoire ?

     

    Les débats ont été âpres et l’audace, une fois n’est pas coutume, est venue du Sénat: alors que les députés se refusaient à toute réforme, les sénateurs, ont, contre toute attente, adopté des positions résolument réformatrices.

     

    Lors de la première lecture, ils ont ainsi proposé d’autoriser,dans le cadre d’un «régime de responsabilité assumée et encadrée», la recherche sur l’embryon et les cellules-souches embryonnaires alors que les députés venaient justement, au nom d’un«interdit symbolique fort», de restreindre– encore – les possibilités offertes aux chercheurs.

     

    En matière d’assistance médicale à la procréation, les sénateurs ont également innové : lors de la première lecture, ils ont, à la surprise générale, ouvert cette pratiqueà «tous les couples », et donc aux couples de femmes homosexuelles.

     

    Les députés, eux, venaient précisément de réserver l’assistance médicale à la procréation aux couples hétérosexuels en âge de procréervictimes d’une infertilité «médicale»: « Le caractère pathologique de l’infertilité doit être médicalement diagnostiqué »,avaient-ils précisé. Pas question, pour l’Assemblée nationale, de prendre en compte l’«infertilité sociale » des couples homosexuels ou des célibataires.

     

    Enfin, le Sénat s’est montré nettement plus ouvert sur la levée de l’anonymat des dons de gamètes, qui permet aux enfants nés d’un don de sperme ou d’ovocytes de connaître à leur majorité l’identité de leur donneur.

     

    Au nom du primat du social sur le génétique, l’Assemblée nationale s’est, de son côté, farouchement opposée à cette réforme. Le Sénat, lui, a longuement hésité : la commission des affaires sociales y était favorable – ces enfants ne sont pas «un produit de la science mais bien un être issu de personnes humaines», expliquait le rapporteur, Alain Milon(Vaucluse, UMP), mais, en séance cette disposition a finalement été supprimée. Au terme de ce marathon législatif, l’Assemblée nationale a fini par faire prévaloir son point de vue: les lois de bioéthique resteront donc quasiment inchangées. Les seules modifications introduites par la révision des lois de bioéthiques de 2011 concernent l’encadrement des tests proposés aux femmes enceintes pendant la grossesse, l’autorisation de la congélation ultrarapide des ovocytes et la réglementation de l’information des proches en cas de maladie génétique.Et la prochaine révision n’est pas pour demain: le nouveau texte de loi précise qu’elle aura lieu dans «un délai maximum de sept ans».

     

    Anne Chemin, « Les grands débats de la bioéthique », Le Monde, 29 juin 2011.

     

    Document 4 : Affiche du film « Bienvenue à Gattaca », réalisé par Andrew Niccol en 1997.

    Pour voir l'affiche du film

    http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1556/files/2014/06/bienvenue-a-gattaca-aff-01-g.jpg&imgrefurl=http://ateliercst.hypotheses.org/762&h=1000&w=773&tbnid=nRkDwXLHcZ6cgM:&tbnh=91&tbnw=70&usg=__ZjXfH7GSwTX40J8kplIUna_YHOY=&docid=icWIe1NOkwvA-M&sa=X&ved=0CCMQ9QEwAGoVChMIgovs5saPyAIVBy4aCh2RRwod

     

     

     



     

    Sujets d’écriture personnelle

     

    1er sujet

     

    Pourquoi est-il nécessaire d’encadrer le progrès scientifique par une réflexion éthique ?

     

    2d sujet :

     

    2ème sujet :

     

    En quoi une œuvre de fiction est-elle intéressante pour réfléchir sur les avancées scientifiques et les risques qu’elles comportent ?

     

     

     

    Recherches préalables au sujet :

     

    Question de vocabulaire (bonus)

     

    1-Qu’est-ce que le clonage ?

     

    2-Qu’est-ce que l’eugénisme ?

     

    Problématique du thème

     

    3-Pourquoi est-il nécessaire d’encadrer le progrès scientifique par une réflexion éthique ?

     

    Solliciter sa culture générale

     

    4-Rédigez un court paragraphe pour dire ce que vous entendez par « progrès éthique ».

     

    5-Connaissez-vous des récits d’anticipation ou des films qui mettent en garde contre l’évolution de la société humaine lorsqu’elle suit les impératifs du progrès, sans se préoccuper de la morale ?

     

    Recherches :

     

    6-Chercher des articles de journaux en rapport avec le thème (un bonus par article intéressant).

     

     

     

    Synthèse de documents :

     

    1-Faire un tableau comparatif en mettant en valeur les pistes de lecture.

     

     

     

    Lectures sur le texte

     

    Des Fleurs pour Algernon- Daniel Keyes.

     

    Frankenstein-Mary Shelley.

     

    Films

     

    Bienvenue à Gattaca

     

    The Island.

     

     

     

     

     

     

     

     


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